S55L "Future lumière urbaine", est un enseignement optionnel, en 3e année de licence, à l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Toulouse (ENSAT), en partenariat avec Le Point/ Futurapolis.
Ce module se déroule sur 39h, par séances de 3 heures le mercredi, au premier semestre 2013-2014 et a commencé le 25 septembre et s'achèvera le 18 décembre 2013.
Il est coordonné et mis en œuvre par Catherine Aventin (architecte dplg, docteur en sciences pour l'ingénieur) maitre-assistante titulaire à l'ENSAT et Caroline Crespin, designer lumière (agence Crespin Lumière, en région toulousaine).
L'équipe est aussi composée de Lydie Arexis-Boisson,
doctorante
en « lumière et perception visuelle », université Paul
Sabatier- Toulouse, laboratoire LAPLACE (Laboratoire plasma et
conversion d'énergie, UMR CNRS 5213, Toulouse – groupe « lumière
et matière »)
et de Susanne Seitinger,
docteur
du MIT Media
Art & Sciences
et post-doc au MIT ; Actuellement « City Innovations
Manager » chez Philips
Color Kinetics.
Nous accompagne aussi à l'ENSAT Sylvie Panissard, chargée et communication
Ce
module a pour objectif
d'offrir aux étudiants l'occasion d'approfondir les questions
de l'éclairage artificiel dans la ville de demain. Ce module
s'inscrit également dans le cadre de la manifestation nationale
Futurapolis organisée par Le Point et la Ville
de Toulouse, en avril 2014.
Thème :
l’abris-bus
Le
sujet de l’abris-bus nous est apparu comme un condensé des
problématiques contemporaines liées à la ville telle qu’on la
conçoit aujourd’hui :
les temps individuels et le temps collectif, la lumière naturelle,
la lumière signalétique, la lumière d’ambiance, la lumière
fonctionnelle, etc.
En
bref, comment partir des besoins de chacun pour apporter une solution
globale la plus adaptée ?
Lieu
d’attente, cet espace présente de nombreuses ambivalences :
dans son identité public/privé dans l’espace public ; dans
son usage répétitif ou non ; à toutes les heures de la
journée et de la nuit ; mi-ouvert et mi-fermé ; abri
selon la météo (apporter de l'ombre en été, une protection à la
pluie et au vent...) ; transparent mais bien limité dans
l’espace ; support de publicité et lieu de rencontre... Il
tient une bonne place dans l’imaginaire collectif comme signe dans
la ville, lieu de rencontres et parfois aussi objet de répulsion
pour ceux qui ont le sentiment d'y « perdent » trop de
temps.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.