Présentation

S65L "Future lumière urbaine", est un enseignement optionnel, en 3e année de licence, à l’École nationale supérieure d'architecture de Toulouse (ENSA de Toulouse), en partenariat avec L'Usine-Centre national des arts de la rue (Tournefeuille / Toulouse Métropole) et Science Animation Midi-Pyrénées.

Des partenariats techniques avec des fabricants de luminaires
sont mis en place spécialement.

Ce module se déroule sur 39 heures, par séances de 3 heures le vendredi, au second semestre 2015-2016.

L'équipe :
Coordonnination et mise en œuvre
> Catherine Aventin (architecte dplg, docteur en sciences pour l'ingénieur) maitre-assistante titulaire à l'ENSA de Toulouse .
> Hervé Dilé, concepteur-éclairagiste et constructeur pour le spectacle vivant, l'Usine

+ Lydie Arexis-Boisson, ingénierie, expertise/conseil, conception et formation en éclairage, docteur en physique de la lumière et perception visuelle ; enseignante vacataire (École de Mines d'Alès, ENSA de Toulouse, etc.).

Nous accompagnent :
> à l'ENSA de Toulouse Sylvie Panissard, chargée de communication et Sylvie Paillard, chargée des partenariats.

> à l'Usine -
Centre national des arts de la rue (Tournefeuille / Toulouse Métropole), ce sont Corentine Velut (chargée des relations avec les publics et de la communication) et Céline Blanché (directrice de la communication et des relations avec les publics).

> à Science Animation (centre de sciences, labellisé Sciences et culure, innovation), Johan Langot, directeur.

Mécènes qui nous donnent du matériel d'éclairage pour les expérimentations et la fabrication des éléments, mais aussi de la peinture, du bois, du matériel électrique :
- OCCIREP, Axeclair et La Maison de la peinture.

Ce module a pour objectif d'offrir aux étudiants l'occasion d'approfondir les questions de l'éclairage artificiel dans la ville de demain.

Pour nous contacter > catherine.aventin@toulouse.archi.fr

mardi 5 novembre 2013

Présentation du module d'ouverture


S55L "Future lumière urbaine", est un enseignement optionnel, en 3e année de licence, à l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Toulouse (ENSAT), en partenariat avec Le Point/ Futurapolis.
Ce module se déroule sur 39h, par séances de 3 heures le mercredi, au premier semestre 2013-2014 et a commencé le 25 septembre et s'achèvera le 18 décembre 2013.
Il est coordonné et mis en œuvre par Catherine Aventin (architecte dplg, docteur en sciences pour l'ingénieur) maitre-assistante titulaire à l'ENSAT et Caroline Crespin, designer lumière (agence Crespin Lumière, en région toulousaine).
L'équipe est aussi composée de Lydie Arexis-Boissondoctorante en « lumière et perception visuelle », université Paul Sabatier- Toulouse, laboratoire LAPLACE (Laboratoire plasma et conversion d'énergie, UMR CNRS 5213, Toulouse – groupe « lumière et matière »)
et de Susanne Seitinger docteur du MIT Media Art & Sciences et post-doc au MIT ; Actuellement « City Innovations Manager » chez Philips Color Kinetics.
Nous accompagne aussi à l'ENSAT Sylvie Panissard, chargée et communication

Ce module a pour objectif d'offrir aux étudiants l'occasion  d'approfondir les questions de l'éclairage artificiel dans la ville de demain. Ce module s'inscrit également dans le cadre de la manifestation nationale Futurapolis organisée par  Le Point et la Ville de Toulouse, en avril 2014.
Thème : l’abris-bus
Le sujet de l’abris-bus nous est apparu comme un condensé des problématiques contemporaines liées à la ville telle qu’on la conçoit aujourd’hui : les temps individuels et le temps collectif, la lumière naturelle, la lumière signalétique, la lumière d’ambiance, la lumière fonctionnelle, etc.
En bref, comment partir des besoins de chacun pour apporter une solution globale la plus adaptée ?
Lieu d’attente, cet espace présente de nombreuses ambivalences : dans son identité public/privé dans l’espace public ; dans son usage répétitif ou non ; à toutes les heures de la journée et de la nuit ; mi-ouvert et mi-fermé ; abri selon la météo (apporter de l'ombre en été, une protection à la pluie et au vent...) ; transparent mais bien limité dans l’espace ; support de publicité et lieu de rencontre... Il tient une bonne place dans l’imaginaire collectif comme signe dans la ville, lieu de rencontres et parfois aussi objet de répulsion pour ceux qui ont le sentiment d'y « perdent » trop de temps.

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