Par Noémie Lemaire, Marion Neira et Maïwen Roudaut, étudiantes.
Notre idée par ce projet est de proposer un espace que les passants
s’approprient : le lieu d’attente du bus devient un abribus
"amélioré".
L’abribus est composé en deux temps : une attente
rapide et une attente longue. Ainsi l’abribus devient totalement
appropriable par les habitants et le quartier et devient praticable par le haut, au sol, il peut aussi être traversé.
Un
travail de typologie et d’animation de la lumière est prévue en fonction du
mouvement des passants et de leur rapport avec cet espace.
Pour
cela, la couverture, à la fois physique et à la fois symbole de protection,
devient support d’expression des « émotions » de la vie urbaine
et traduit cette idée de liberté.
L’abribus s’anime aussi en fonction des événements dans la ville et
transcrit des thématiques différentes selon le lieu où il se
positionne selon occasion, que celle-ci soit culturelle,
historique...
Les moments de la journée et les saisons interviennent
également pour la mise en lumière de celui-ci.
L’idée
d’une structure avec un module répétitif permet de mettre en
place une trame et d’intégrer un dispositif lumineux : les OLEDs (
organic light emitting diode).
La trame avec les Oleds |
De
nuit, des interactions photosensibles entre l’usager et l’abribus ont lieu. En effet, son rapport à l’espace déclenche et
détermine une lumière selon sa position, proche, lointaine ou
encore si la personne le touche.
De
jour, le mouvement des passants sur la partie haute praticable crée des jeux d’ombres au sol. Au sol, des assises
sont proposées au passant et à l’usager. Celles-ci leur
permettent d’adopter différentes postures en fonction de leur
temps d’attente et de leurs envies.
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